La canción sobre el Rally Paris-Dakar es : 03 Piste 03.mp3
La letra :
Cinq cents connards sur la ligne de départ Cinq cents blaireaux sur leurs motos Ca fait un max de blairs Aux portes du désert Un paquet d'enfoirés Au vent du Ténéré
Le rallye mécanique Des Mad Max de bazar A r'commencé son cirque Au soleil de janvier
Vont traverser l'Afrique Avec le pieds dans l' phare Dégueulasser les pistes Et revenir bronzés
Ravis de cet obscène Et pitoyable jeu Belle aventure humaine Selon les journaleux
Cinq cents connards sur la ligne de départ Cinq cents couillons dans leurs camions Ca fait un max de blairs Aux portes du désert Un paquet d'enfoirés Au vent du Ténéré
Passe la caravane Et les chiens n'aboient plus Sous les roues des bécanes Y'a du sang répandu
C'lui des quelques sauvages Qui ont voulu traverser Les rues de leurs villages Quand vous êtes passés
Comme des petits Romel Tout de cuirs et d'acier Crachant vos décibels Aux enfants décimés
Cinq cents connards sur la ligne de départ Cinq cents guignols dans leurs bagnoles Ca fait un max de blairs Aux portes du désert Un paquet d'enfoirés Au vent du Ténéré
Combien d'années encore Ces crétins bariolés F'ront leur terrain de sport D'un continent entier
Combien d'années enfin Ces bœufs sponsorisés Prendront l' sol africain Pour une cour de récré
Dans leurs joutes odieuses Les bonbons bien au chaud Au fond de leurs délicieuses Combinaisons fluos
Cinq cents connards sur la ligne de départ Cinq cents blaireaux sur leurs motos Ca fait un max de blairs Aux portes du désert Un paquet d'enfoirés Au vent du Ténéré
(Paroles : Renaud Séchan / Musique : Renaud Detressan)
(tal vez sería mejor quinientos pelotudos en la línea de salida)
Quinientos estúpidos en la línea de salida Quinientos mamíferos sobre sus motos Son demasiadas narices En las puertas del desierto Un paquete de cabrones Al viento del Ténéré
El rally mecánico Los Mad Max de bazar De nuevo empezaron su circo Al Sol de enero
Van a atravesar África Con sus pies en el faro Manchando las pistas Y volviendo bronceados
Encantados de este obsceno Y lamentable juego "Bella aventura humana" Dicen los periodicuchos
Quinientos estúpidos en la línea de salida Quinientos pendejos en sus camiones Son demasiadas narices En las puertas del desierto Un paquete de cabrones Al viento del Ténéré
Pasa la caravana Y los perros ya no ladran más Bajo las ruedas de las motos Hay sangre derramada
El de unos pocos salvajes Que han querido cruzar Las calles de sus pueblos Cuando ustedes pasaron
Como pequeños Rommel Todos en cuero y acero Escupiendo sus decibeles Sobre niños diezmados
Quinientos estúpidos en la línea de salida Quinientos títeres en sus coches Son demasiadas narices
En las puertas del desierto Un paquete de cabrones Al viento del Ténéré
Cuántos años más Esta sarta de cretinos Harán su campo de deportes En un continente entero
Cuántos años por fin Estos bueyes patrocinados Tomarán el suelo africano Por su patio de recreo
En sus juguetes odiosos Los bombones bien calientes En el fondo de sus deliciosas Vestimentas fluorescentes
Quinientos estúpidos en la línea de salida Quinientos mamíferos sobre sus motos Son demasiadas narices En las puertas del desierto Un paquete de cabrones Al viento del Ténéré